Salon international de la lingerie 2011 - edito

Véritable privilège féminin, la lingerie est plus qu’un élément d’une garde-robe. Plus qu’un phénomène de mode. Plus qu’une affaire de tissu et de coupe. C’est l’apanage de la femme. C’est un phénomène de société.

2011 est sans contexte l’année du renouveau. Les femmes ont des airs d’Amazones dont le combat est celui de la féminité. D’un côté, on s’engage, on se ré-apprivoise la lingerie et son histoire. On puise dans le passé pour retrouver des techniques ou des formes. Mais il ne s’agit surtout pas de refaire la même chose. On mélange les codes et les genres. On compose et recompose à l’infini. Rien n’est interdit. C’est l’heure du possible pour que l’on s’investisse, que l’on partage, que l’on échange. ‘Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme  », disait Lavoisier. Alors on transforme la lingerie pour imaginer une nouvelle silhouette.

La femme version 2011 prend des risques et ose tout

Pour se dessiner une allure conquérante, elle transgresse tous les codes. La corseterie devient fantastique et théâtrale. Transgressive. Le corset n’est plus vécu comme un carcan – voire un objet de torture – mais bien comme une posture provocante assumée. Cette année, les seins sont également redessinés. La poitrine « abus  » fait son grand retour et met en valeur toutes les formes jusqu’aux plus généreuses.

Pin-up des temps modernes, la femme est séductrice et libérée. Elle se met en scène et ne se contente plus de plaire… Elle envoà»te !

Source : dossier de presse du Salon International de la Lingerie 2011

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