Chirurgie esthétique des mollets

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Si la chirurgie des mollets a été initialement une chirurgie réparatrice, destinée à corriger les maladies d’atrophie grave telles la poliomyélite, le pied-bot,…elle est désormais pratiquée en chirurgie esthétique.

Chirurgie esthétique des mollets

Cette intervention est destinée aux personnes qui présentent des mollets trop fins à cause d’une hypotrophie musculaire ou un développement inachevé des muscles du mollet. Le but étant de donner une harmonie entre les profils de la cuisse, du genou et de la jambe.
On utilise pour cette occasion une prothèse faite spécialement pour les mollets. De forme allongée, souple et faite en gel de silicone, elle existe sous plusieurs formes et longueurs s’adaptant à la morphologie des patients.

Qu’est-ce que la chirurgie esthétique des mollets ?

L’intervention quant à elle, consiste à placer la prothèse, non pas sous la peau du mollet, mais plus en profondeur, au contact des muscles atrophiés. Pour cela, une incision d’environ quatre centimètres est pratiquée horizontalement à l’arrière du genou pour l’insertion de l’implant, ce qui fait que la cicatrice est très discrète. Selon l’atrophie observée, plus d’une prothèse peuvent être insérées, si cela est indiqué.

Comment se déroule l’opération ?

La chirurgie esthétique des mollets requiert un à deux jours d’hospitalisation et peut durer de trente minutes jusqu’à une heure, sous anesthésie générale ou anesthésie des deux membres inférieurs seulement.

Le résultat est tout de suite visible après l’opération. La douleur est minime s’il y en a, mais disparaît quelques jours après, la prise d’antalgiques est conseillée pour atténuer les douleurs. Par contre, une sensation de tension peut se sentir au niveau des mollets ou que le sujet a du mal à marcher, c’est normal, et avec de l’exercice, les gênes disparaîtront assez vite.

Mise en garde et précautions, effets secondaires

Cependant, les complications sont toujours possibles comme lors de toute intervention chirurgicale, même si elles sont rares, comme les risques liés à l’anesthésie générale, risques de phlébite, d’hématome, d’infections,… Il arrive également que les implants se déplacent, deviennent visibles et palpables de l’extérieur ou qu’ils durcissent et forment une coque. Tout cela mène à des résultats insatisfaisants.

Sinon, pour limiter les troubles de cicatrisation, il est préférable de limiter ses déplacements et d’éviter les travaux exigeant trop de mobilités, même le sport, durant la première semaine après l’intervention.

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